Le 13 décembre, Israël a mené une frappe aérienne dans le quartier de Tal al-Hawa à Gaza, faisant quatre victimes, dont un haut responsable militaire du Hamas. Selon la Défense civile et des sources médicales, cette attaque ciblée a été effectuée alors que le pays tentait de neutraliser une figure clé du mouvement islamiste.
Les forces israéliennes avaient anticipé cette opération, faisant état d'une menace persistante émanant de Gaza. Dans un communiqué, l'armée a confirmé avoir "frappé" un membre influent du Hamas, sans fournir d'informations détaillées. Le groupe terroriste a, de son côté, qualifié cette action de "violation flagrante" de l'accord de cessez-le-feu établi en octobre, qui avait mis un terme à deux ans de conflit intense.
Un témoin oculaire a décrit la scène, affirmant avoir vu plusieurs membres du Hamas se précipiter vers les lieux de l'attaque. Des experts en géopolitique s'interrogent sur cette opération, soulignant que ces frappes risquent de raviver des hostilités déjà tendues. Selon Le Monde, ces événements témoigneront d'une escalade possible des violences.
En réaction, des voix au sein de la communauté internationale appellent à une désescalade des tensions, insistant sur la nécessité d'un dialogue constructif pour éviter une nouvelle flambée de violence dans la région. L'avenir des relations entre Israël et le Hamas reste incertain, et les prochaines jours seront cruciaux pour évaluer la portée de cette opération.







