Le 24 décembre, Annalisa Cappellini a abordé lors de son intervention dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, l'annonce marquante de l'Arabie Saoudite. À partir du 1er janvier 2026, le royaume ouvrira son marché immobilier aux investisseurs étrangers, une annonce qui ne manquera pas de susciter des ambitions nouvelles.
Cette initiative va inéluctablement transformer le paysage économique saoudien. En permettant aux non-résidents d'investir dans l'immobilier, Riyad cherche à attirer les capitaux étrangers et à diversifier son économie, traditionnellement basée sur le pétrole. Selon les experts du secteur, cette décision pourrait engendrer un afflux massif d'investissements, favorisant la création d'emplois et une dynamique de développement urbanistique sans précédent.
De nombreux analystes, comme ceux de Le Monde, soulignent l'importance de cette ouverture : "Elle marque un tournant historique pour l'Arabie Saoudite", affirme un consultant en finances internationales. L'immobilier saoudien, souvent perçu comme inaccessible, devient désormais une option viable pour les investisseurs internationaux désirant capitaliser sur la croissance de la région.
Ainsi, les villes comme Riyad et Djeddah pourraient voir fleurir des projets audacieux, attirant des promoteurs immobiliers et des architectes du monde entier. Toutefois, cette libéralisation suscite également des interrogations, notamment sur les répercussions sociales et environnementales que ces transformations pourraient engendrer.
Alors que les préparatifs pour 2026 vont bon train, tous les yeux sont rivés sur l'évolution de ce nouveau paradigme. Les investisseurs potentiels doivent se préparer, car cette ouverture pourrait bien redéfinir les standards du marché immobilier mondial.







