Le 17 décembre en France, des événements troublants ont capté l'attention du public et des médias. Emmanuel Macron a exprimé sa indignation face à une vidéo alarmante, conçue par intelligence artificielle, qui a fait le tour des réseaux sociaux en annonçant un soi-disant coup d’État. Cette vidéo, vue plus de 12 millions de fois, a même suscité des inquiétudes parmi les dirigeants internationaux, jusqu'à alerter l'Élysée. En dépit des demandes de retrait formulées par le gouvernement, Meta a maintenu sa position, considérant que le contenu ne contrevenait à aucune de ses règles, ce qui a entraîné un débat public sur la nécessité d'une meilleure régulation des réseaux sociaux pour freiner la désinformation.
Parallèlement, le monde agricole continue de vibrer sous le coup de la colère. Les agriculteurs, frustrés par les mesures gouvernementales liées à l'abattage massique de leurs troupeaux en réponse à l'épidémie de dermatose nodulaire, intensifient leurs mobilisations. Les annonces concernant la vaccination ne semblent pas suffire, et les manifestations, incluant des blocages de routes, se multiplient, illustrant le profond mécontentement d'un secteur vital pour l'économie française, selon des reports du France Soir.
Enfin, la crise du logement se poursuit d'une manière alarmante. Une récente étude révèle que le loyer d'un appartement de trois pièces dans des villes comme Nice, Toulouse et Rennes nécessite désormais un revenu mensuel d'environ 2 700 euros, soit une augmentation de 25 % par rapport à cinq ans auparavant. À Paris, ce seuil s'élève à plus de 7 000 euros par mois. Cette flambée des loyers complique considérablement la vie des jeunes et des familles qui peinent à se projeter dans l'avenir, comme l'indiquent des experts du secteur. La crise du logement, exacerbée par la montée des taux d'intérêt et le manque d'offres, soulève des interrogations cruciales sur le futur de l'habitat en milieu urbain, d'après les analyses publiées par Le Monde.







